Il y a des textes que l’on lit en apnée. Puis on y revient, on se remémore certaines phrases, et peu à peu, la vie reprend son cours. Mais on sait le texte rangé quelque part au fond de notre mémoire. Il a laissé une trace en nous.
La semaine dernière, je vous ai invité·e·s à lire Amandine, une chronique judiciaire de Julien Mucchielli. C’est un texte que j’ai lu plusieurs fois. La première fois en tant que lectrice sidérée (là où, très souvent, je lis avec mes lunettes de journaliste) ; la deuxième fois, en tant qu’autrice.
Qu’est-ce qu’on lit vraiment, quand on lit un fait divers ?
La troisième fois, ce fut avec Julien Mucchielli, pour qu’il m’explique comment il avait perçu et écrit le procès de Sandrine Pissara et Jean-Michel Cros, accusés d’actes de torture et barbarie ayant entraîné la mort d’une mineure de moins de 15 ans et comparaissant devant la cour d’assises de l’Hérault.
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